Avant de prendre son envol, la libellule vit sous la surface, dans les eaux calmes, les zones d’ombre, l’attente.
Nymph Arc saisit ce moment charnière, celui où quelque chose s’éveille de l’intérieur, encore invisible, encore sans nom.
Ce tableau suggère que la transformation commence dans l’obscurité, dans la patience qu’il faut pour faire face à l’inconnu. Se livrer à cette incertitude est peut-être le premier véritable geste d’envol.