On grandit en apprenant que la résilience compte plus que la douceur, que la force doit se voir pour être réelle. Alors on se construit des couches : épineuses, silencieuses, inatteignables. Ce qui naît comme une protection devient habitude, et la distance entre soi et l’autre s’assèche en un fardeau invisible.
Endless Drought demeure dans cette aridité cachée, ce silence émotif qui dissimule ce qui ne demande qu’à être partagé.